Un peu de tout ...........

17 juin 2009

UN PEU DE TOUT :

Pourquoi contredire une femme ? Il est tellement plus simple d’attendre qu’elle change d’avis. Feydeau.

Si je savais broder, un tableau avec cette citation serait accroché sur un mur, pour rappeler à Christian que les femmes qui changent d’avis ont toujours existées.

Dans une précédente gazette je vous parlais des chiens, la preuve en image, les chiens sont tout de même plus heureux chez moi que chez Paris Hilton ! (cliquez sur le lien en rouge pour visionner une vidéo sur youtube )

Une exposition Tarzan au musée du quai Branly. Nous avons tous regardé les yeux ronds les exploits de Tarzan dans la jungle, c’était un précurseur de l’écologie, il protégeait la forêt contre les pillards. Son auteur E.R Burroughs prévoyait déjà le pillage des richesses de l’Afrique que son héros défendait en volant de liane en liane et en poussant son fameux cri. Mais a-t-il donné un baiser à Jane ? Moi, j’avais beaucoup aimé Greystocke avec Christophe Lambert, il jouait un très beau Tarzan. Maintenant nous avons Dany qui arrive comme Tarzan dans les urnes, les pectoraux en moins, et la jungle n’est plus la forêt, mais le paysage politique. Chaque époque a le Tarzan qu’elle mérite.

Une réflexion comme un cheveu sur la soupe : J’ai horreur qu’un homme porte un short avec des mocassins et des chaussettes grises, il existe des baskets et des chaussettes blanches. Par contre cet été, il se peut que nous ayons des nanas en string et soutien-gorge sur la plage portant un masque sur le visage pour se protéger de la grippe porcine, un trois pièces inhabituel.

Ce matin, j’entendais un producteur de lait se plaindre à la radio, et ces derniers jours dans certains magasins les rayons étaient vides, j’imaginais ce que devait être les magasins de l’Union Soviétique à une certaine période et le désarroi des clients devant le manque de choix.

Mais, si je me souviens bien tous les produits laitiers avaient subi une sacrée augmentation au moment de la soi-disant pénurie de lait, voilà que depuis quelques mois il y a surproduction, mais là les fabricants de yaourts ne mouftent pas et les prix ne baissent pas. Nous sommes les vaches à lait de la grande distribution. Nous faisons l’inventaire de notre jardin pour savoir si nous pourrions tenir sans faire de courses : 20kgs de patates ramassés, quelques framboises, quelques fraises que les merles ont épargnées, des salades que les limaces ont négligées, des blettes, mais très peu, les haricots verts ne sont pas encore prêts, ni les tomates, en espérant que le mildiou ne sera pas de la parti, c’est dur de cultiver bio. Oui, nous avons besoin de la grande distribution, hélas !

Sans commentaire ce dessin, que ceux qui n’ont jamais fraudés lui jettent la première pierre.

Finalement si, un commentaire.

Il y a des arrondissements dans Paris qui n’ont pas Mahmoud Ahmadinejad comme maires et qui pourraient recompter leurs voix, ailleurs aussi, il parait qu’il y a même des bulletins de vote dans des chaussettes. Nous pourrions nous abstenir de donner des leçons de démocratie quelquefois. L’Occident s’offusque, mais c’est le peuple qui aura nous espérons le dernier mot . Mais, on peut manipuler les foules et pas toujours dans un but avoué, au détriment de la souffrance des petits. J'ai comme souvenir, une sortie en force de mon pensionnat un beau jour de printemps, une constitution de défilé et un slogan à répéter "De Gaulle au pouvoir", nous répétions en obéissant sans chercher à comprendre, et je disais à la copine qui était à côté de moi "C'est qui De Gaulle" ? Je n'avais pas vécue la sortie de guerre et je n'avais que 15 ans. Je me souviens surtout d'avoir eu très mal aux pieds et la voix enrouée, et surtout d'avoir profité d'un moment de grande liberté hors de la pension, mais nous avons peut-être contribué à la marche de l'histoire.

Dimanche journée scrabble à Guénin, parties originales, tournoi organisé par le club de Baud.

Il faut être maso, j’aime jouer les parties originales, tout en étant très loin du top, je m’amuse.
Je vais donc me concentrer sur ma grille vide, le cœur plein d’espérance avant de commencer, j’ai souvent l’impression d’être en lévitation avant d’entamer un tournoi, et vlan ! la dure réalité se révèle à moi, je tombe, la magie n’opère plus, c’est la désespérance.
L’accueil à Guénin est toujours sympathique, la clôture du tournoi aussi avec la célèbre soupe Baldivienne et les canapés préparés par les membres du club. Nous ne regrettons jamais notre journée, la preuve beaucoup d’inscrits cette année étaient déjà présents aux autres éditions.